☼ Âge :  31 ans
☼ Date et lieu de naissance : 8 décembre 1989 à Cleyn (USA)
☼ Nationalité / origines : Américaine
☼ Genre : Femme
☼ Orientation sexuelle : Hétéro
☼ Situation maritale : Divorcée
☼ Etudes ou emploi : Avocate mais en reprise du haras de son père spécialisé pour le moment dans les courses de chevaux.
☼ Situation financière : Excellente en tant qu'avocate, criblée de dettes en reprenant le haras. Donc en sommes, ça commence à puer ...

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☼ Fantasmes : Arrêter de s'enticher des mauvaises personnes. Arriver à tout concilier. Accepter de tourner la page de son divorce.

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☼ Groupe : Habitante
☼ Avatar : Jessica Lowndes

Droite et travailleuse, elle est surtout très dévouée à son travail. Malheureusement, beaucoup moins envers sa famille qu'elle n'a pas revue depuis des années. Son plus gros défaut est son perfectionnisme. Il faut que tout soit parfait tout le temps ce qui la rend souvent grognonne lorsque ce n'est pas le cas.

Qui plus est, même si elle a grandi au ranch, elle a totalement oublié ce que " se salir les bottes " voulait dire. Plutôt " précieuse ", elle a longuement hésité à revenir au haras, bien trop heureuse de sa vie de citadine pour échanger ses Loboutin par des bottes de fermier. Contrainte et forcée de devoir aider son père pour la gérance de l'entreprise, c'est à reculons et sans vouloir mettre de côté sa féminité qu'elle est revenue. Elle espère faire le moins possible de corvées et se contenter de toute la partie administrative et juridique sans se rendre véritablement compte de la portée de son nouvel engagement.

Son divorce est récent, donc elle n'envisage pas de relations, maintenant elle ne s'interdit pas quelques moments intimes lorsque ça en vaut le coup. Comme tout le monde elle a des besoins, mais cela ne signifie pas qu'elle écartera les cuisses à tout-va. Depuis qu'elle est revenue, elle est quand même pas mal perturbée par son beau-frère dont elle n'avait pas le souvenir qu'il soit aussi rustre et antipathique. Ca l'étonne, car pourtant elle a le souvenir d'avoir eu un coup de coeur pour lui avant qu'il ne préfère sa soeur.  

Fille de Henry Lockwood troisième du nom, Liza a grandit avec son père veuf et sa sœur jumelle, Aurélia, dans le ranch familial. Très vite, son père a senti qu'il serait bon de le transformer en haras. Il s'est donc endetté sur des années pour pouvoir acheter des purs sangs et en faire des champions. Pour cela, il a engagé l'un des meilleurs dresseurs de l'époque. Il en a fait son meilleur ami dont sa famille a pu grandir avec eux dans le haras. Ce dresseur a eu un fils qui s'est finalement amouraché d'Aurélia au point de vouloir très vite l'épouser.

Liza, elle rêvait d'une autre vie. Elle rêvait de vivre en ville et de pouvoir défendre la veuve et l'orphelin. Contrairement à sa sœur elle ne souhaitait pas s'enfermer au haras, elle rêvait en grand sans forcément se rendre compte de l'importance de l'héritage qui un jour serait le sien. Elle a donc fait de grandes études. Contrairement à sa sœur qui a continué de gérer le haras et qui s'est marié avec le fils du dresseur lui-même devenu dresseur à son tour (PV À VENIR), elle, a fait le tour du monde, a participer à des conférences dans le monde entier, a rencontré son futur époux à Ibiza et a adoré animer des cours de justice.

Avant qu'elle ne reçoive le coup de téléphone qui changerait sa vie à jamais, elle était heureuse. Elle avait tout pour l'être du moins. Un mari dont elle pensait aimant. Certes, il avait tendance à prendre toute la place, mais elle l’acceptait volontiers. Elle lui avait volontairement offert ses meilleures affaires, ils ne formaient qu'un, jusqu'à ce fameux coup de fil. Elle s'en souvient encore. Elle s'apprêtait à prendre l'ascenseur pour se rendre au travail lorsque son père lui annonça la mauvaise nouvelle. D'une mauvaise chute à cheval, sa sœur venait de décéder. Elle se souvient avoir lâché son mug " Starbucks " avant qu'un énorme trou noir ne l'assaille ... Elle n'a jamais été proche de sa sœur et pourtant avant même de connaître la mauvaise nouvelle elle avait senti son cœur se briser le matin même sans comprendre. Maintenant, elle comprenait.

Son père malade, elle n'eut d'autres choix que de mettre sa vie à LA entre parenthèses, son métier de côté également, pour pouvoir s'occuper de la gérance du haras le temps de trouver un remplaçant. Comme si elle avait le choix, son mari lui ne lui en laissa pas. Prétextant préférer vivre séparer d'elle plutôt que vivre à des milliers de kilomètres sans elle, il demanda le divorce très rapidement. Elle lui laissa tout ce qu'ils possédaient...

Arrivée sur Cleyn munie d'une simple valise, elle vient tout juste de s'installer au Haras. En reprenant la gérance du site, elle découvre son père beaucoup plus malade qu'il ne semblait lui dire, l'entreprise est criblée de dettes, et elle n'avait pas le souvenir que le mari de sa sœur était aussi rustre (PV).

☼ Pseudo :
☼ Âge :  31
☼ Avis sur le forum : passable x)
☼ Multi-comptes : Oui, Lena & co
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Code:

[size=18]:clubs:[/size] [b]Jessica Lowndes[/b] | @"Elizabeth Lockwood"

☼ Âge :  29 ans
☼ Date et lieu de naissance : 25 décembre 1992, Chicago (Etats-Unis).
☼ Nationalité / origines : Américaine / Espagnole
☼ Genre : Femme
☼ Orientation sexuelle : Hétéro
☼ Situation maritale : célibataire. Elle n'a pas eu beaucoup d'expérience avec les hommes et ça lui convient tout à fait. Dans tous les cas, elle a tendance à les repousser systématiquement plutôt que de leur accorder le moindre crédit.
☼ Etudes ou emploi : Serveuse dans un pub de quartier, mais ambitionne d'acquérir son propre établissement lorsqu'elle aura assez de tunes de côté. Les études, elle n'a pas connu et elle a enchainé divers petits boulots avant de se stabiliser avec celui-ci. Il ne lui demande que très peu d'efforts pour communiquer avec autrui, ce qu'elle apprécie.
☼ Situation financière : C'est pas la folie, mais le loyer est toujours payé en priorité.

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☼ Fantasmes : Elle rêverait d'avoir une vie où sa sœur et elle n'auraient pas eu à fuir leur propre vie. A cause de cela, à aujourd'hui, son seul fantasme est de récolter assez d'argent pour pouvoir être son propre patron et ne plus avoir à dépendre des autres. Elle n'a pas de fantasme sexuel pour la simple et bonne raison que par souci de commodité elle ne fréquente pas les hommes. La crainte d'avoir à subir de nouveau ce qu'elle a subi plus jeune la terrifie. Le seul mâle qui de toute façon ose l'approcher est Ronflex, leur chartreux ventripotent.  

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☼ Groupe : Habitante
☼ Avatar : Alejandra Alonso

Contrairement à sa sœur, Gabriela n’est pas des plus sympathique. Elle n’est pas douce, et elle est loin d’être compréhensive. Le sang chaud, elle a tendance à s’emporter rapidement, et dans ces cas-là, il n’y a que sa sœur qui est en mesure de la calmer. Ces années de violences, avant leur fuite, ont fait d’elle quelqu’un d’aigri qui n’a plus espoir en l’être humain ou en l’humanité. Pour autant, Gabriela n’est pas du genre à se laisser abattre, obligée de vivre sa propre vie, et l’esprit combattif et acharné, elle pense néanmoins à son avenir et à ce qu’elle pourrait faire pour l’améliorer. Elle n’est pas idiote, elle sait très bien qu’aux Etats-Unis sans diplôme et sans argent ses chances de réussir sont maigres, pour autant elle n’espère pas la lune et est convaincue qu’elle sera en mesure d’y arriver tôt ou tard.

Plutôt rebelle, elle a enchainé pas mal de déconvenues avant de finalement se poser. Ses emportements de colère, bien qu’ils lui fassent peur parfois, font partie d’elle, et si pendant longtemps elle a essayé de le renier, preuve de son lien parental, aujourd’hui elle l’accepte en l’utilisant comme force. Ne pas se laisser marcher sur les pieds, ne pas le permettre, jamais, et avancer.

Comme sa sœur, elle a appris à se débrouiller très tôt, dès 16 ans. A deux, elles ont pu supporter des choses qu’à elle seule elle n’aurait jamais pu supporter. Sa sœur est son tout, et son unique crainte serait de la perdre pour ne pas avoir réussi à la protéger. Elle surveille donc beaucoup ses relations, et voit en général d’un mauvais œil la gentillesse qu’elle peut leur offrir sans attendre de retour sur investissement. Pour elle, s’intéresser à l’autre doit n’avoir qu’un intérêt, le sien. Il est impensable de permettre à quiconque de découvrir ses blessures et de pouvoir les utiliser ensuite contre elle. D’ailleurs, c’est notamment pour cela que ses relations, hormis avec sa sœur, n’ont été qu’un enchainement d’échecs. Dans ses rêves les plus fous, elle rêve de trouver quelqu’un qui soit en mesure d’ébrécher sa carapace pour pouvoir y mettre un pied.

Gabriela n’est pas une enfant facile, contrairement à sa sœur. Elle ne s’intéresse pas à l’écriture, pas au dessin, ni à la peinture ; elle n’a pas d’activité extrascolaire, et n’a pas beaucoup d’amis. Plutôt rebelle, elle est celle des sœurs qui a le plus de mal à cacher son mal-être. Sa seule préoccupation est de se nourrir et là pour le coup, elle est plutôt douée pour en trouver. Que ce soit en flirtant ou en volant, elle comprend très vite le pouvoir qu’elle peut avoir sur les gens et n’hésite pas à en abuser.

Pour autant, face aux colères de son père ou aux négligences de sa mère, elle s’écrase, et elle s’écrase tellement qu’elle tombe petit à petit dans une sorte de dépression dont seule sa sœur arrive à l’en défaire. Contrairement à Ivana, Gabriela ne dit rien de ce qu’elles vivent, à personne. Elle a honte, et elle est surtout terrifiée à l’idée qu’ils puissent le savoir. Une cicatrice orne d’ailleurs son bras droit, preuve du seul moment où elle a tenté de se rebeller face à son père.

C’est à 16 ans, après la fuite de leur mère, qu’elles décident de fuir elles aussi cette vie chaotique. Après un énième coup, après une énième rétention de nourriture. Sans en discuter avant, les jumelles ont su qu’il était temps pour elles de partir si elles ne souhaitaient pas finir comme le pensait Ivana, mortes et jetées dans un caniveau non loin. Pendant des mois et des mois elles ont enchainé les petits boulots. Avec plus ou moins de succès pour Gabriela d’ailleurs, dont la colère sous-jacente refaisait parfois surface. Toujours avec la volonté de s’éloigner pour qu’il ne puisse pas les retrouver, toujours à croire qu’il veuille les retrouver.

Dans la rue, elles ont fait énormément de rencontres. Des bonnes, comme des mauvaises. Elles se sont forgées un mental d’acier, toujours à deux. Bien évidemment, elles ont été manipulées et utilisées lors de ce long périple, mais chacun de ces déboires n’a fait que renforcer leur capacité à résister. D’une résilience sans faille, parce que l’une était en capacité d’aider l’autre et inversement, elles ont vécu énormément de choses jusqu’à Cleyn, et c’est loin d’être terminé.

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